C'est à l'âge de mes 18ans que j'ai décidé, n'en pouvant plus des sarcasmes des mes amis, de m'inscrire à un cours d'aviron sur l'ile de la jatte a Neuilly sur seine.

Faut dire que pour un mec de 18 ans j'étais pas très épais. En plus pour gâter le tout j'avais le visage fin, mignon, des cheveux de bébé. Je vous passe les commentaires désagréables sur mon dos lorsque je portais les cheveux mi-long.

Je fus alors placé dans un cours de débutant mais hélas je n'arrivais pas à suivre la cadence. Et c'est tout honteux que je me préparais à laisser tomber dès la première séance. Des gamins de 13ans avaient plus de souffle, de corps que moi... Profitant de la douche collective et d'un moment de répit après la t o r t u r e , je prévenais le prof.

• Je crois pas que je viendrais aux cours suivant.

• La première leçon est de pas te décourager. Si tu veux cette semaine je peux te suivre individuellement chaque soir a partir de 19H.

• Mais je crois que je fais vraiment pas le poids.

• Essaie, en plus tu as réglé le premier semestre.

• Ok, André a lundi alors..

Je n'étais vraiment pas convaincu. Mais bon j'ai essayé. Il m'a fait faire de la musculation en premier, mes jambes qu'il trouvait trop fine. Couchée sur le dos je devais pousser des poids. dieu que c'était lourd. Mais même j'étais plutôt minable et je voyais que je le décevais un peu. C'est le lendemain que son attitude a changé envers moi. Nous avons repris les mêmes exercices mais sa voix était plus dur, moins enthousiaste quant à la réalité de mes prouesses sportives. il avait juste un petit sourire que je qualifierait volontiers de carnassier. il avait posé une main sur mes abdos pour voir si je les contractais pendant l'effort, l'autre contre mes fesses. Si bien qu'en poussant je sentais sa main se pressait, certains de ses doigts passaient sur ma raie. Je réussis mieux l'exercice qu'hier. Mais j'étais infiniment plus troublé, a chaque poussée je ne sentais que sa main. Sous la douche j me laissais aller a me comparer a lui: il était aussi grand que moi pas loin 1m80 mais devait pesait 20kg de plus que moi, les muscles saillant. Alors que moi avec mes pauvres 65kg j'étais vraiment pas beau.

• On t'a jamais dit que tu avais des fesses de femme.

J'ai du avoir l'air très bête car il ajouta:

• Eh mais fait pas cette tête la, c'est pas grave. D'ailleurs ça te donne une allure très svelte tu sais.

La j'étais vraiment troublé... Il était à côté de moi, me comparait à une fille avec son sourire carnassier... C'était hypnotique je ne pouvais m'empêcher de le dévisager, il me souriait, me draguais et c'était bon. Je sentais comme une joie, un apaisement intérieur. Je lui souris. Il avança une main et me flatta la fesses gauche, je rougis, et j'avançais doucement ma main vers son sexe. Les douches automatiques s'arrêtèrent. il me prit la main et m'emmena dans sa cabine de vestiaire, ferma et me plaqua dos au mur. Il m'embrassa a pleine bouche, sa langue me dardant et caressant mon palais, sa moustache naissante me piquant, je me sentais faible, tremblotant. Il me pressa la bite, je bandais. Il pressa encore et j'éjaculais. Jamais de ma vie, je ne me sentis plus mal. Je sortis sans un regard, il riait, je m'habillais et rentra chez moi dans un état second. Le lendemain je n'y allais pas ni le jeudi d'ailleurs mais le vendredi la tentation et le picotement de mon sexe me guidait jusqu'à lui.

Sans un mot, il me conduisit dans son vestiaire.

• C'est bien que tu sois venu. Je le savais. Tu as envie de recommencer.

• Oui.

• Tu sais faut pas avoir peur c'est tout naturel d'avoir des attirances sexuelles même pour quelqu'un de ton propre sexe.

Je rougissais, mais j'étais plus serein, j'étais content d'être la.

• Enfin toi je sais pas trop de quel sexe tu es?

Sa voix étais plus dure. Je respirais difficilement.

• C'est vrai tu as un physique androgyne, tu es quasiment imberbe et tu as des réactions de pouf.

Le picotement sur mon sexe reprenait au fur et à mesure qu'il me parlait ainsi tout en me regardant droit dans les yeux. Je levais les bras sur épaules et offris mes lèvres. De nouveau, il darda sa langue en moi. il me tenait la tête de ses deux mains, je bandais sec. Il appuya sur ma tête je compris et m'agenouillait, je crois que je mouillais presque des fesses tellement cela m'excitait.

• Alors il va falloir que tu apprennes, n'est ce pas?

• Oui.

je baissais son jogging, son slip et sorti son sexe mou. Je le fixai et commencer à le caresser. Il me prit par les cheveux et imprima la cadence, je sentais sa bite grossir dans ma bouche, je gémis, elle était énorme du moins pour ma bouche j'étouffais.

• Met-y bien de la salive faut que ça glisse tout seul.

Et pour vérifier il me tint le cheveux en suspens et baisa ma bouche, je salivais pour que ça glisse tout seul, j'étais heureux.

• Tu aimes obéir hein?

• A toi oui.

• Tu aimes quand je te parles durement hein? Répond?

• Oui.

• Tu es un brave petite chienne hein.

Sans le vouloir je ponctuais ses dernières paroles par un gémissement. Il sortis sa bite de ma bouche. Je le regardais, il me souriait et commença à me gifler avec sa verge.

• Tu aimes hein tu aimes?

Je prononça un oui tellement aigu et plaintif que j'eu presque honte.

• Tu aimerais faire quoi maintenant.

La question me déstabilisa, mais j'étais en plein fantasme. Ado je regardais les films porno comme tout un chacun, et j'avais souvent vu cette scène où j'incarne la femme et ça finissait souvent par une éjaculation faciale.

• Je veux.... Je veux que tu viennes sur mon visage.

Il me sourit.

• Ouvre la bouche laisse juste entrer mon gland pas trop, la, oui comme ça. Et avec tes deux mains branle moi bien a fond.

Je le branlais avec frénésie la bouche bien ouverte comme dans les films de cul. Je crois que je jouissais intérieurement. Il ahana, râla et je sentis un liquide chaud épais m'asperger jusque dans les cheveux.

• Continue, continue...

Je pris son sexe dans ma bouche et le pompa, le nettoya tandis que le sperme refroidissait sur mon visage. Je le regardais.

On passa à la douche en riant, je n'avais pas honte peut entre était ce à cause du fait que je n'avais pas éjaculé mais c'était tellement bon.

• Tu sais pour moi c'est la première fois avec un mec.

• Pour moi c'est la première fois tout court.

Nous riâmes aux éclats...

• Tu as déjà porté des vêtements de fille.

• Euh bah oui quand j'étais plus jeune. Je faisais des baby sitting chez une de mes tantes.

• Et tu te branlais bien.

• Bah ouais.

• Hum.

• Tu veux venir demain soir à la maison?

Il me souriait.

Le lendemain après m'être bien préparé, j'avais mis un jean serré et j'admirais mon cul, excitais comme une première communiante, a genoux attendant l'hostie. Je m'étais même rasé le visage bien que j'en ai pas vraiment besoin j'ai juste un peu de duvet. Je me rendis chez lui et a peine passé la porte il me sauta au cou. M'embrassa longuement, me pelotta partout les fesses, les seins, la bite. Il m'entraina dans la salle de bain et tout sourire me demanda:

• Tu veux me faire plaisir.

Et comme une conne je répondis.

• Tout ce que tu voudras...

• Non ça ça sera pour après. Tu veux juste me faire une petite faveur...

Je restais coi... Il déballa un sac monoprix contenant tout ce qu'il fallait pour m'épiler!

• Je te laisse faire hein, je t'attends a côté. Tu veux boire quelques choses dis?

• Euh ouais un coca.

j'étais un peu déçu... Mais bon s'il le fallait, ca me faisait plaisir de le voir comme un gamin. Une bonne heure après j'avais les jambes impec douce mais un peu rougis et irrité par endroit mais rien de bien grave. Dans ma tenue d'Eve je vais le voir il me regarde m'ausculte. Souris mystérieusement et sans rien me dire me prend par la main pour me reconduire à la salle de bain.

• Met tes mains contre le mur, cambre toi.

Il me caressa les fesses, passa la main dans ma raie et entrepris de me raser la. Puis devant. J'étais tout nu, brulant mais tout nu.

• T'es adorable comme ça. Allez viens j'ai fait à diner.

Je dinais tout nu, nous rigôlames bien et il me fit un peu boire. J'étais gaie. Je renversais alors mon verre par inadvertance. Et comme je mettais la main devant la bouche, il me l'attrapa, me tordis le bras derrière le dos, me faisant cambrais il commenca a me fesser rigoureusement.

• Lâche moi ça fait mal!!

Il me fessa moins durement mais n'en continuait pas moins sur le même rythme, c'était presque devenu des caresses mais bon... Petit a petit je ne sentais plus que mon cul et sa main de fer qui me tenait et l'autre qui me fessait et son corps sur lequel je m'appuyais.

• Tu aimes m'obéir m'as tu dis tu dois aimer aussi être châtié quand tu le mérites.

Sa voix était dure autoritaire. Je crois que je pleurais doucement d'humiliation plus que de douleur, je ne pouvais répondre.

• Tu veux que j'arrête là.

J'étais je pense en transe, j'étais h y p n o t i s é, toutes mes fesses me brulaient et me chauffaient. Je balbutiais à mon grand étonnement:

• Non.

Il s'arrêta, me frustra mais me sourit et m'embrassa.

• Allez habille toi j'ai une surprise pour toi. Ne remet pas ton caleçon c'est pas la peine.

Docile je m'exécutais. On pris sa voiture jusque dans le 11ième arrondissement et arrivé à cité joli il se gara en double file et nous entrâmes dans un fameux sexe-shop. Nos petites emplettes, j'en riais comprenait du p o p p e r s, un petit gode, deux string, des bas, porte jarretelle et une paire d'escarpin noir noté 9cm. J'étais toute excitée, je me sentais dès à l'instant comme une femme à qui on fait un cadeau. Mais il ne s'arrêta pas la et demanda une tenue de soubrette à ma taille. Ignorant je savais pas de quoi il s'agissait croyant que c'était un déshabillé. Avant de partir, il m'envoya dans une cabine d'essayage, enfiler le string. C'était assez désagréable d'avoir cette ficelle dans les fesses. Ce n'est qu'en sortant que je me rendis compte de ce que je venais de faire et me mit à rougir. Devant les deux personnes qui tenaient le magasin, mon mec avait étalé notre future aventure.

Dans la voiture je l'embrassais comme un fou. J'étais heureux très heureux. Il m'arrêta et me dit que je pourrais le remercier dans quelques instants. Traversant tout paris il arrêta la voiture derrière l'ambassade Russie côté bois de boulogne.

• Je t'aime.

Je l'embrassais comme un fou. Il me pris la tête je comprenais et m'agenouillais sur mon siège, il me releva un peu et fis descendre mon jean j'avais quasiment le cul stringué collé à la fen^tre, je le suçais avec énérgie. Il m'arrêta.

• Doucement, n'oublis pas que tu as des dents et salive beaucoup.

Je recommencais m'appliquais me concentrais. Lui me pelotais le cul. Il remonta la ficelle du string ce qui comprima encore plus mon sexe a moitié bandé. Et entrepris de me doigter. Il faisait des mouvements circulaires sur mon trou, mouillais son doigt et me pénétrais un peu et recommencais. Je m'échauffais vite. Je bandais dur malgré mon string. Il s'arrêta me tira par les cheuveux, me regardant droit dans les yeux:

• Tu m'aimes?

• Je t'aime à la folie.

Je remarquais à ce moment la qu'il y a avait trois hommes autour de la voiture qui se branlait en nous regardant. Je restais pétrifiais.Il me sourit:

• Tu me fais confiance?

Je ne répondis rien.

• Bon écoute je te propose un marché d'accord. Si tu l'acceptes, tu deviens ma femme, je t'habille te loge et te fais jouir. On pourra même si tu le souhaites consulter en Belgique un medecin pour les hormones. Qu'en penses tu?

Ce que j'en pensais... Depuis quelques jours ma vision du monde avait été radicalement changé, je ne me sentais plus un mec mais féminin vraiment féminin. De tout mon coeur je désirais lui faire plaisir, faire plaisir à André, à mon mec.

• Et en échanges?

• En échanges tu te soumets entièrement à moi.

J'étais parcouru de frisson...

-Tu n'es pas obligé de répondre tout de suite. Mais si tu penses ne pas pouvoir le faire vraiment mieux vaut nous quitter tout de suite. Tu comprends. Tu sais nous n'avons pas vraiement eu le temps d'en discuter mais j'aime les relations s-m. Je les pratiques généralement avec des femmes mais avec toi ca été différent. D'abord tu as l'enveloppe d'un mec. Mais tu es très attirant. Ensuite tu es d'un naturel soumis. Ne hoche pas la tête comme ca. C'est vrai ca se voit et je crois que cela te fait plaisir.

Enfin avec toi ce serait une vraie expérience je pourrais te recréer à ma façon.

J'attends de toi maintenant un oui ou un peut être sinon quittons nous là. J'opinais.

• Pardons?

• Oui.

• Oui quoi?

• Oui je veux me soumettre à toi.

• Alors sorts de la voiture et pompe bien ces trois gars tu m'entends.

Et je sortis en string, tremblotant. Sachant au fond de moi qu'il n'avait jamais douté de ma réponse sinon pourquoi...

Je m'agenouillais devant les phares et pris dans ma bouche la première bite qui s'y présenta. Je le pompais plus que je ne le sucais déisreux d'en finir au plus vite avec cette épreuve. Les deux autres mecs entouraient le premier en me faisant face. Ils se saisirent chacun d'une de mes mains afin que je les branle. Je gémis. Le premier se saisit de ma tête par les cheveux et me baisa avec vigeur la bouche. Ils changèrent de place, m'insultaient et à chaque fois je gémissais. Enfin ils me tinrent tous les trois par les cheveux, et m'éjaculèrent avec f o r c e de grognement sur le visage.

Je crois que la mon premier sentiment et de m'être senti tout à fait comblé. Le sperme refroidissant et goutant de mon visage, je remontais dans la voiture sans un regard pour mes amants. Je cherchais un kleenex. André m'arrêta et me dit que je m’essuierais de retour à la maison. Il m'embrassa et m'étala le sperme partout sur mon visage, ca collait. Il caressa ma queue doucement, j'éjaculais très vite dans un relâchement entier de mon corps, j'étais épuisé. Mais je savais fort bien que j'avais pris autrement ma jouissance. Je souriais à André.

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